Réseaux sociaux: balance ta haine! |
Déversoirs d’insultes primaires, mal
orthographiées, vulgaires, avec un penchant pour les attaques personnelles les
plus viles et cerise sur le gâteau, les menaces de mort, tels sont devenus les
réseaux sociaux, autant Facebook que Twitter.
Ces outils numériques jadis conçus pour
tisser un lien de convivialité joyeuse sont systématiquement détournés de leur
objet initial par de gens dissimulés derrière des pseudos qui balancent
leur haine de la société et de ceux qui l’animent, des anonymes qui profitent
du masque que leur offre Internet pour vomir leur rancœur envers tout ce qui
peut offrir une image positive, démontrant par là-même qu’ils incarnent
derrière leur loup de circonstance l’échec de leur propre vie et la vengeance
psychopathe qu’ils veulent exercer à l’encontre de ceux qui ne sont pas tombés
dans la spirale de leur déchéance.
Réseaux sociaux, finies les photos de vacances Place à la politique |
Quelle tristesse de constater que les
réseaux sociaux sont devenus l’exutoire des recalés, des paresseux et des
jaloux, furieux de s’être fait voler la vedette par des gens qu’ils haïssent sans même les connaître. Est-ce à dire que les réseaux dits sociaux n’ont en fait plus rien de
social? Nul ne put contester le fait qu''ils ont été détournés de leur raison d’être au profit d’une forme de contestation politique systématiquement négative.
Mais à qui
peut bénéficier cette déferlante de violences qui risque du jour au lendemain de s’abattre
sur vous dès que votre nom sort du chapeau. Prenez garde à ce que votre tête ne
dépasse pas d'un cil de crainte de devenir une cible de choix ! Mais si l'on poursuit le raisonnement, qui a, en fait, le plus de
chance d’être choisi comme cible ?
La réponse est simple. Si vous êtes libéral, pro-européen, démocrate et respectueux des institutions, votre compte est bon. Vous êtes devenu l’ennemi à abattre selon le diktat des réseaux sociaux. Surtout ne dites pas que vous avez voté Macron, vous êtes bon pour le pilori. Il suffit de lire, par exemple, les commentaires qui accompagnent les articles parus dans la presse pour comprendre que la liberté d’expression y est à sens unique, aux mains d’extrêmistes aux noms d'oiseau qui se défoulent en démolissant avec hargne tout ce que peut entreprendre le gouvernement.
Inutile d’en rajouter, on a bien compris le message. Emmanuel Macron cristallise toutes les haines y compris celles que renvoient les pancartes des Gilets Jaunes. Souvent surnommé Micron, il n’est perçu que comme un imposteur, un président illégitime arrivé là grâce au soutien des mondialistes eux-mêmes manipulés par la mafia juive aux mains du Hongrois Georges Soros. Le fait que Macron ait transité par la Banque Rotschild a dans ce sens, définitivement scellé son sort aux yeux de la cathosphère rétro. Il est temps qu'il s'en aille back to black. Pas de juifs à l'Elysée (juste des Francs-Mac).
Les réseaux sociaux ne manquent pas de s’acharner à démontrer qu’il existe une collusion entre la haute finance en « papillottes » et leur valet qui occupe indûment l’Elysée. L’antisémitisme règne en maître sur les réseaux sociaux, relayé par des gens au profil inquiétant qui ont apparemment bien profité du mouvement des Gilets Jaunes pour se refaire une forme d'innocence. Preuve, s’il en est, que les gentils GJ manquent encore de maturité. Dieudonné, rien que lui, l'égérie des djihadistes, s’est affublé d’un gilet fluo pour se faire prendre en photo à un rond-point au milieu d’anonymes visiblement trop contents d’avoir à leur côté un humoriste réputé. Bravo le coup de com ! Ses amis de l'Etat Islamique s'en sont fait "péter le bédélé".
La réponse est simple. Si vous êtes libéral, pro-européen, démocrate et respectueux des institutions, votre compte est bon. Vous êtes devenu l’ennemi à abattre selon le diktat des réseaux sociaux. Surtout ne dites pas que vous avez voté Macron, vous êtes bon pour le pilori. Il suffit de lire, par exemple, les commentaires qui accompagnent les articles parus dans la presse pour comprendre que la liberté d’expression y est à sens unique, aux mains d’extrêmistes aux noms d'oiseau qui se défoulent en démolissant avec hargne tout ce que peut entreprendre le gouvernement.
Inutile d’en rajouter, on a bien compris le message. Emmanuel Macron cristallise toutes les haines y compris celles que renvoient les pancartes des Gilets Jaunes. Souvent surnommé Micron, il n’est perçu que comme un imposteur, un président illégitime arrivé là grâce au soutien des mondialistes eux-mêmes manipulés par la mafia juive aux mains du Hongrois Georges Soros. Le fait que Macron ait transité par la Banque Rotschild a dans ce sens, définitivement scellé son sort aux yeux de la cathosphère rétro. Il est temps qu'il s'en aille back to black. Pas de juifs à l'Elysée (juste des Francs-Mac).
Les réseaux sociaux ne manquent pas de s’acharner à démontrer qu’il existe une collusion entre la haute finance en « papillottes » et leur valet qui occupe indûment l’Elysée. L’antisémitisme règne en maître sur les réseaux sociaux, relayé par des gens au profil inquiétant qui ont apparemment bien profité du mouvement des Gilets Jaunes pour se refaire une forme d'innocence. Preuve, s’il en est, que les gentils GJ manquent encore de maturité. Dieudonné, rien que lui, l'égérie des djihadistes, s’est affublé d’un gilet fluo pour se faire prendre en photo à un rond-point au milieu d’anonymes visiblement trop contents d’avoir à leur côté un humoriste réputé. Bravo le coup de com ! Ses amis de l'Etat Islamique s'en sont fait "péter le bédélé".
La France du juif Macron contre la nation en ordre de marche |
Reste maintenant à savoir qui
est épargné par les réseaux sociaux. Devinez ! C’est facile. Qui bénéficie
toujours d’une étrange complaisance ? Inattaqué, inoxydable, le
Rassemblement National bien sûr. Cherchez bien dans les pages sulfureuses qui
agitent les réseaux sociaux. Le RN profite d’une bienveillance que d’aucuns
envieraient. L’extrême-droite y apparaît comme le seul recours qui permette de retrouver de l’ordre, remettre les chômeurs au travail, virer les
étrangers et ressentir comme un bon parfum de nostalgie très années 50, avant
que l’Europe pervertie par la capitalisme judeocratique ne soit venu voler son âme à la France. Il y a comme un air de Pétain
dans cette vision passéiste du pays. Travail, Famille, Patrie, les trois moteurs de la France de Vichy, mais aussi de la France de Marine. Marine, l’idole des
réseaux sociaux, la Marianne de l’ordre nouveau, la Madonne des "Franzouses". On ne peut s’empêcher d’établir
une corrélation entre les louables collaborateurs du temps de l’Occupation qui traquaient les bébés juifs et
les pseudos de l’ombre qui, aujourd’hui, pourchassent de leur vindicte tous ceux
qui sur Facebook ou Twitter seraient tentés de s’affranchir du discours social-nationaliste
faisant loi au Rassemblement National en osant l'assortir d'un soupçon de
libéralisme et d’un vernis de démocratie.
L'enfumage puissance 10 Le néofascisme aux dents blanches |
Les réseaux sociaux sont devenus une arme politique
aux mains de la Fachosphère, cette mouvance d'ultra-droite férue d'infox et de fake news, apte à façonner l’opinion dans le sens qu’elle
désire. Il existe bien un compétiteur, Jean-Luc Mélenchon, mais pas de
chance pour lui, les modèles sur lesquels il pense s’appuyer s’il parvenait un
jour au pouvoir, ont du plomb dans l’aile. Son ami vénézuelien Maduro, dont il défend la
légitimité alors que ce dernier ne tient en place que grâce au pouvoir qu'il a concédé aux généraux,
ne séduit pas vraiment les Français. On se plaint déjà chez nous de manque de
moyens mais, au moins, si on fait la queue au supermarché, c’est à la caisse et pas à l’entrée. Marine a, quant à elle, la chance d’avoir de son camp, des dirigeants anti-européens convaincus comme Matteo Salvini, un type qui fait peur même à ses amis. Mais alors, ce serait pour gagner
quoi ? Assurément la mort de l’Union Européenne ! Chacun barricadé derrière ses frontières, prêt à engager une nouvelle guerre de tranchées. Et donc, à la fin, la victoire de la
Russie, de la Chine, de la Turquie, le brelan d'as gagnant sur lequel a misé le RN. Il y en a qui ont été accusés de haute
trahison pour moins que ça. On sait, à présent, en tout cas, à qui profite la
haine. Pas à la France, ni aux Français ! Fichtre, les Patriotes revendiqués rêvent d'un nouveau Vichy, coiffés de l'emblêmatique béret large et mou du temps du Maréchal. Alors
à quoi bon se tourmenter. La France a encore de beaux jours derrière elle. Heil Marine !
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